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Publié le 8 janvier 2015
Par La Rédaction
3 min de lecture
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Frédéric, à Vanne (56)

Un Boxer pas très agressif

Sur Peugeot Boxer 2,0 l HDI, une perte de puissance est notée, particulièrement sur les 3e et 4e vitesses. Le témoin au combiné d’instrument reste éteint.

L’examen de la mémoire du calculateur étant sans réponse, la panne peut être cernée autour de la mesure de charge, sans panne franche, mais avec une mauvaise évaluation des capteurs. Deux possibilités sont envisageables, le capteur de position de pédale d’accélérateur, le capteur de charge (débitmètre). Pour le capteur de position de papillon, vérifier la linéarité de l’évolution de la résistance. Si les valeurs sont correctes, le débitmètre peut être tenu pour responsable.

David, à Saint-Germain (78)

Une Mégane qui se fait les dents

Comment interpréter la panne d’une Mégane 1.5 dCi (85ch) de 2003, qui ne démarre plus ?

Peu de temps après le remplacement du démarreur, la voiture tombe en panne, le redémarrage est aléatoire, puis totalement impossible. L’examen de l’ensemble du système d’injection ne donne pas de code-défaut ou un défaut aléatoire sur le capteur de PMH. Déposé, le capteur révèle la présence importante de limaille provenant sans doute de la défaillance de l’ancien démarreur. Après nettoyage ou remplacement du capteur, le véhicule redémarre.

Jean-Pierre, à Rueil (92)

Une poussière entre les dents du Jaguar

Peu après un entretien classique sur une Jaguar X Type Diesel (moteur Ford 2,2 l), le voyant de défaut d’injection s’allume puis, sur un redémarrage, le moteur s’emballe et fume noir.

L’examen des mémoires de défauts indique un défaut d’injection. Déposés et contrôlés, les injecteurs indiquent un blocage en position ouverte. Démontés, il s’avère que de la limaille est présente dans le circuit haute pression. Le remplacement de la totalité du circuit d’alimentation est à réaliser. Le remplacement du filtre a sans doute laissé passer des poussières ou la pompe est défectueuse.

Benoît, à Champigny (94)

Démarrage laborieux sur Polo

Le moteur 1.4 TDI de cette Polo ne veut plus démarrer, le voyant de préchauffage ne s’allume plus, mais le carburant n’arrive pas non plus à la pompe.

Sur ces moteurs Volkswagen, une pompe de “gavage” met le circuit en pression. Cette pompe est alimentée par un relais protégé par fusible. Si le fusible est bon, l’absence de commande du préchauffage (voyant éteint) indique que le relais est en cause. La pompe n’est pas alimentée.
Le remplacement du relais permet de remettre le véhicule en marche, et le préchauffage s’allume alors.

Philippe, à Bordeaux (33)

HDI sans force

Le moteur 1.4 HDI de cette Citroën C3 de 2003 souffre de mauvais démarrages et de manque de puissance.

Au test de fuite, deux injecteurs affichent des retours trop importants pour masquer un blocage interne. Les injecteurs sont passés au banc de contrôle, qui confirme le diagnostic. Les quatre injecteurs sont remplacés. Le moteur fonctionne à nouveau correctement.

Laurent, à Saint-Etienne (42)

Un arrêt non commandé

Le manque de puissance de cette Golf TDI 110 de 1997 survient dès le démarrage, après une accélération initiale au-dessus du régime de ralenti. Le voyant de préchauffage s’allume en clignotant après quinze secondes et le moteur manque de puissance.

Le ralenti accéléré au démarrage traduit un manque d’air dès le démarrage. Le moteur est en dépression constante, d’où l’impression d’absence de turbocompresseur et le manque de puissance. Le voyant de préchauffage s’allume car il manque des valeurs pour la commande du post-chauffage. Les Golf TDI sont équipées d’une électrovanne d’arrêt. Celle-ci s’est bloquée et ferme l’arrivée d’air.
Il faut la remplacer ou la dégripper après dépose.

Roger, à Nice (06)

Un Jumper qui manque de vitalité

Après des problèmes de démarrage à chaud, le moteur 2.2 HDI de ce Jumper refuse tout service.

Le moteur manque de pression pour démarrer, au contrôle de la pression de la rampe. A l’examen, il s’avère que le régulateur de pression sur la pompe d’injection est défaillant, au niveau des joints entre pompe et régulateur. Le joint (vert) et la bague (blanche) défectueux sont remplacés ainsi que le joint du régulateur. Le fonctionnement est rétabli normalement.

Franck, à Orléans (45)

Un joint pour la route…

Après entretien général et nettoyage de la vanne EGR, une Alfa 156 (JTD 140 ch) qui n’accélérait plus au-dessus de 3 000 tr/min n’a plus de puissance au-dessus de 2 000 tr/min. Où est l’erreur ?

Il y a sûrement un problème venant des opérations réalisées. Si la vanne EGR est correctement nettoyée (vérifier son fonctionnement en statique), si le turbo ne donne pas de suralimentation, il y a un problème sur le circuit de commande de la suralimentation.
Le démontage de la vanne EGR peut avoir entraîné une fuite sur le circuit d’échappement. Le contrôle des joints de la vanne qui a été déposée s’impose. Une fuite sur la vanne déleste le circuit de suralimentation et repousse l’entrée en action du turbocompresseur.
En cas de dépose le la vanne EGR ou de tout élément sur le circuit d’échappement ou en amont du turbocompresseur, il est impératif de changer tous les joints par des neufs et de respecter les couples de serrage donnés par le constructeur.
 

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