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Yokohama BluEarth-A

Publié le 7 mai 2014
Par Marc David
2 min de lecture
Profitant des dernières technologies appliquées sur le BluEarth-1, le nouveau Yokohama BluEarth-A se distingue notamment par ses hautes performances sur le mouillé.
Profitant des dernières technologies appliquées sur le BluEarth-1, le nouveau Yokohama BluEarth-A se distingue notamment par ses hautes performances sur le mouillé.

Présenté officiellement à Genève, le nouveau BluEarth-A (AE-50) de Yokohama est désormais disponible en onze dimensions, du 16 au 18 pouces, séries de 60 à 40. En outre, la gamme de ce produit appelé à remplacer à terme le C.drive 2 (un pneu de milieu de gamme) s’étoffera progressivement en cours d’année.

Sur le plan technique, le dernier-né de la firme japonaise se distingue tout d’abord par son profil asymétrique exclusif. Celui-ci comporte cinq rainures circonférentielles à largeur variable, dont deux en particulier arborent une forme en "éclairs". Ce dessin permet d’augmenter le volume de drainage de l’eau tout en renforçant la rigidité des pavés. Evidemment, s’ajoutent à celles-ci des rainures d’épaulement de tailles différentes selon qu’il s’agit de la partie intérieure ou extérieure de la bande de roulement.

Mais, surtout, le BluEarth-A bénéficie des dernières technologies en matière de chimie et de mélange de gomme, auparavant appliquées avec succès sur le BluEarth-1. Il s’agit en fait d’une évolution de la gomme "Nano-Blend", une technologie qui permet de trouver le juste équilibre entre trois performances habituellement antagonistes : basse résistance au roulement, grip sur chaussée mouillée et longévité. Dans cette optique, le mélange de polymères intègre une association de deux types de silice de haute qualité pour améliorer le grip sur sol mouillé en augmentant la longévité. A ce mélange vient s’ajouter de l’huile d’orange, dont la structure moléculaire est proche du caoutchouc naturel. Conséquence directe, une note "A" sur la plupart des dimensions pour ce qui est du freinage sur sol mouillé, le gain se situant à quelque 13,2% par rapport au C.drive 2. Pour ce qui est de la résistance au roulement (note "C" sur l’échelle de l’étiquetage), le gain résulte notamment d’une nouvelle construction de carcasse et du design alvéolé (façon balles de golf) des épaulements. Au final, un travail global soigné, pour des résultats concrets.

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