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Lubrifiants

Yacco dans la Galaxie

Publié le 27 février 2012
Par Marc David
< 1 min de lecture
Yacco SAS agrandit la famille Galaxie en proposant une nouvelle formulation dans le grade 0W40. Celle-ci répond aux exigences de certains constructeurs dont la gamme comporte des motorisations performantes.
Yacco SAS agrandit la famille Galaxie en proposant une nouvelle formulation dans le grade 0W40. Celle-ci répond aux exigences de certains constructeurs dont la gamme comporte des motorisations performantes.

Yacco SAS vient d’étendre la famille Galaxie, soit la gamme de lubrifiants positionnée dans le segment sport ou dans la compétition ; cette dernière représentant le véritable ADN de la société de Rueil-Malmaison, qui fêtait fin 2011 un titre de Champion de France des Rallyes (via Gilles Nantet sur Porsche 997 GT). "Autour de notre marque figure un réel engouement pour les produits typés sport, et notre Galaxie se positionne tout à fait dans ce segment, explique Eric Candelier, directeur commercial et marketing de Yacco SAS. Au départ, ce produit n’était disponible que dans le grade de viscosité 15W50, soit le grade traditionnel employé depuis plus de vingt ans. Puis nous avons étendu notre offre." Effectivement, il y a peu, l’Indépendant du Graissage étoffait sa gamme en lançant un produit dans le grade 10W60, destiné à répondre aux exigences de certains constructeurs de véhicules GT et sportifs…

Aujourd’hui, Yacco crée à nouveau l’événement en proposant une Galaxie RS 0W40 qui correspond à la demande de certains constructeurs, notamment Ford pour sa Focus RS. Ainsi, dans le cadre d’un spectre d’utilisation relativement large (ACEA A3/B4 - API SM), la dernière-née de la famille Galaxie répond en plus aux spécifications de la norme Ford WSS-M2C 937-A. Sur le plan technique, la formulation exclusive 100 % synthèse de la Galaxie RS 0W40 exploite au mieux les performances offertes par les PAO (polyalphaoléfines). Concrètement, le grade 0W garantit une mise en service plus rapide du lubrifiant lors des phases de démarrage (préservant ainsi le moteur même par grand froid), tandis que le film d’huile à chaud se révèle d’excellente tenue avec, qui plus est, une meilleure résistance à l’oxydation, deux éléments nécessaires en usage sportif.  

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