OilFactory peaufine
Lancé le 25 juillet dernier, soit durant la période estivale pourtant peu propice au business, le site de vente en ligne de lubrifiants et autres liquides (notamment de refroidissement) a pourtant su trouver sa place sur le marché des lubrifiants. En effet, avec plus de 1600 visiteurs uniques, un taux de transformation de plus de 15% et un taux de rebond de 30%, OilFactory a réussi à séduire les MRA avec ou sans panneaux ainsi que des concessionnaires, et même des carrossiers. "Le fait que 70% des internautes regardent d’un peu plus près l’offre de notre site nous rend raisonnablement optimistes pour la suite, fait remarquer Laurent Barlesi, le président fondateur de OilFactory. Dans l’absolu, les clients sont avant tout satisfaits par la gamme complète de produits répondant aux homologations constructeurs ainsi que par les prix très compétitifs proposés."
Ainsi, selon lui, commander sur Internet n’a suscité aucune retenue et a été très bien accueilli par les réseaux de professionnels, qui ont vu là un avantage avéré dans la gestion de leurs commandes. Dans ce contexte, OilFactory a mis en place ce mois de septembre un complément de gamme pour s’ouvrir davantage à d’autres marchés, en particulier celui des transports et de l’agraire. "Sachant que le concept Internet exclut le démarchage sur le point de vente, les internautes doivent être en mesure de fréquenter un site répondant à 90/95% de leurs besoins", souligne Laurent Barlesi.
En outre, par rapport à sa version de base qui a permis de tirer certains enseignements précieux, le site est en train d’évoluer avec de nouvelles fonctionnalités en vue d’améliorer le service. Dans ce registre figure en premier lieu une démarche d’identification des produits et de leur sélection par la plaque d’immatriculation du véhicule, un concept auquel Motul a souscrit il y a peu. "Cette évolution en faveur des MRA leur permettra de déterminer immédiatement le produit homologué en fonction du type de véhicule", justifie Laurent Barlesi. Evidemment les cinq partenaires du segment Premium, à savoir BP, Eni, Mobil, Petronas et Texaco, ne sont pas les moins concernés.