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Bosch Car Service, un nouvel élan

Publié le 13 mars 2014
Par Clotilde Chenevoy
< 1 min de lecture
L’équipementier a étoffé les équipes en charge du réseau Bosch Car Service, remettant, notamment, sur le terrain, des chefs de secteur.
En mai prochain, Bosch Car Service organisera sa convention, les dirigeants espérant rassembler 60 % du réseau.

Sur 2013, Bosch a grandement communiqué auprès des garages en général, ne ciblant pas particulièrement son réseau Bosch Car Service. Ce qu’il fait aujourd’hui via plusieurs activités. En effet, pour 2014, Claudie Cahart, à la tête du développement du réseau en France depuis le 1er décembre, annonce trois grands axes de développement pour 2014. Premièrement, l’équipe terrain a été étoffée, comptant désormais quatre chefs de secteur chargés de rencontrer les adhérents. Par ailleurs, au siège, un responsable marketing et un chef des ventes viennent en support des équipes terrain. Et prochainement, une personne intégrera l’équipe pour négocier des accords avec les flottes et les grands comptes. “Nous recevons des sollicitations auxquelles nous pouvons aujourd’hui répondre puisque le réseau est suffisamment qualitatif, détaille la responsable du réseau. La technique reste l’ADN des BCS, mais nous aidons nos adhérents à devenir plus généralistes, pour réaliser des ventes additionnelles et répondre aux besoins des grands comptes et flottes. Il s’avère plus facile de passer de technique à généraliste, que l’inverse.”

Objectif 2014 : 470 centres

Parallèlement, à l’image de sa maison mère Bosch, le réseau compte générer du trafic en s’appuyant sur une stratégie digitale axée sur les réseaux sociaux afin de faire connaître BCS au grand public. Le réseau compte 410 centres, un chiffre en baisse suite à un changement des exigences du réseau. Pour 2014, Claudie Cahart cible le chiffre de 470 points de vente, avec le Sud-Ouest et la région lyonnaise en priorité. Dans cette optique, et pour la deuxième fois, BCS sera au salon de la Franchise. “Nous avons besoin d’être vus, précise la responsable. Nous cherchons toujours des gens de l’automobile, mais nous pouvons également intéresser des investisseurs.”

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