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Equipementiers

UFI étoffe sa gamme de filtres d’habitacle

Publié le 12 mars 2020
Par Nabila Albour
< 1 min de lecture
L’équipementier a enrichi sa gamme filtration pour habitacle avec 135 nouvelles références UFI et Sofima. Avec 442 références au total, UFI obtient ainsi un taux de couverture de 98,5 % du parc circulant européen.
Le filtre d'habitacle protège contre les poussières, suie, bactéries, pollens et autres polluants à l’intérieur du véhicule.

UFI accélère sur la filtration. L’équipementier italien qui met régulièrement à jour les catalogues aftermarket EMEA de UFI et Sofima, a lancé 135 nouvelles références sous ses deux marques. Avec 442 références pour habitacle actuellement, le groupe parvient ainsi à une couverture de 98,5 % du parc circulant européen.

Dans le détail, la gamme complète comprend 276 filtres anti-pollen réalisés avec un média filtrant synthétique en tissu non tissé, capable de retenir plus de 90 % des particules ayant un diamètre supérieur à 2,5 μm, comme les impuretés et les pollens. Les 166 références restantes sont composées d’un matériel filtrant en tissu non tissé associé aux charbons actifs, qui absorbent également les gaz et les odeurs, offrant ainsi une meilleure protection à l’intérieur du véhicule.

Remplacer le filtre d’habitacle tous les 15 000 km

Des atouts non négligeables face aux risques que représentent une mauvaise qualité de l’air pendant la conduite tels que les allergies, maux de gorge, diminutions de l’attention au volant et jusqu’à la réduction de la visibilité à cause de la buée sur le pare-brise et les vitres. De fait, la concentration de poussières dans l’atmosphère et la présence de différents types de particules nocives, comme le PM10 et PM2,5 peut être jusqu’à six fois supérieure à l’intérieur du véhicule, à cause de l’effet « tunnel » qui se crée dans le circuit de la ventilation.

Aussi, le groupe UFI Filters conseille de remplacer le filtre d’habitacle tous les 15 000 km – dans les zones particulièrement poussiéreuses à des intervalles encore plus courts – ou tous les 6 à 12 mois au maximum. Et ce, dans le but de se prémunir contre les particules nocives et afin d’optimiser le fonctionnement du système de la climatisation.

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