Croissance continue pour Point S
Pour densifier encore un peu plus son maillage, le spécialiste du pneumatique et de l'entretien auto annonce l'ouverture de douze nouveaux points de vente au cours du premier trimestre.
Pour densifier encore un peu plus son maillage, le spécialiste du pneumatique et de l'entretien auto annonce l'ouverture de douze nouveaux points de vente au cours du premier trimestre.
Malgré un exercice 2013 positif conclu sur un CA de 410 millions d'euros (contre 405 en 2012), des volumes de pneumatiques en progression de 2,5% et un bilan en entretien/réparation en hausse de 4% (sur un marché à - 4%), Point S n'a pourtant pas réussi à atteindre son objectif qui consistait à ouvrir 40 nouveaux centres (32 au final). Loin d'être refroidie par cet échec (?), l'enseigne repart de l'avant et annonce l'ouverture de douze nouveaux points de vente lors de ce premier semestre.
Les grandes agglos dans le viseur
Un développement désormais en partie axé sur les grandes agglomérations puisque deux centres se trouvent en région parisienne, trois dans la périphérie lyonnaise alors qu'un sixième se trouve à Perpignan et pourra profiter des quelque 300 000 habitants qui rayonnent dans et autour de la capitale catalane. Les autres points de vente prendront place dans les villes de Montluçon (Allier), Clisson (Loire-Atlantique), Jouy-aux-Arches (Moselle), Sens (Yonne), Beaucouze et Chemillé (Maine-et-Loire).
Un plus en affaires et en notoriété
Anciennement chez First Stop, Jérôme Lorrain, dirigeant du garage Goumiroue de Jouy-aux-Arches, a souhaité changer de panneau et rejoindre Point S "pour les grands comptes qu'ils peuvent apporter et pour la qualité de leur communication". Deux éléments qui ont également séduit Stéphane Glad, propriétaire de S.G. Autos à Aulnay-sous-Bois, qui explique "se situer dans une zone particulièrement concurrentielle. Il me fallait l'appui d'une grande enseigne pour me développer".
Addition plus salée que prévue
Le choix de Point S s'est fait d'autant plus naturellement que "la plupart des enseignes concurrentes étaient déjà implantées dans ma zone". Son centre comprend ainsi un petit espace de vente en libre service adossé à un atelier d'entretien rapide. Seule déception pour lui : "le laxisme du commercial qui est venu me démarcher sans me préciser toutes les dépenses nécessaires pour rejoindre le réseau. Entre un logiciel à 5 000€ et une formation à 2 000€, la facture n'était plus la même…". Nonobstant ce problème, le dirigeant se dit toujours très motivé et espère devenir rentable d'ici trois ans.
