Bilan du Tour de France Diesel de la Feda

Au total, sur les 6 réunions qui se sont tenues entre professionnels partout en France, et à l’heure de dresser un bilan de ces 6 rencontres et échanges, la FEDA et les distributeurs hôtes des différentes réunions se réjouissent que leur initiative ait été validée par la profession et soit couronnée de succès.

Au total ce sont plus de 110 professionnels qui ont activement participé et échangé avec les équipementiers et la Commission technique du Groupe Diesel et nouvelles technologies de la FEDA.
La présentation de la démarche Eco Entretien® faite à chaque réunion a suscité à nouveau un réel intérêt auprès des diésélistes présents qui attendent maintenant, pour ceux qui feront le choix de cette démarche, de pouvoir enclencher le processus de leur certification.

En démarrage de chaque réunion, il était demandé à chacun des participants d’indiquer de façon anonyme la perception qu’il avait de son activité Diesel en 2016, à l’atelier et en négoce. La compilation des résultats de ce sondage montre que 18% des entreprises interrogées déclarent une régression de leur activité, 27% l’estiment stable par rapport à 2015 et, fort heureusement, 55 % ont enregistré une croissance de leur activité. Pour la FEDA, cela traduit que la baisse des immatriculations de véhicules diesel est, aujourd’hui et pour de nombreuses années encore, compensée par le nombre de véhicules circulant combiné au vieillissement du parc. Raison de plus pour la FEDA et ses distributeurs spécialistes Diesel et nouvelles technologies, pour insister sur la qualité des "process" de réparation mis en œuvre, qui ne peuvent qu’être ceux préconisés, validés et contrôlés par les équipementiers.

A l’issue de ce Tour de France, les membres du Groupe Diesel et Nouvelles technologies de la FEDA remercient l’ensemble des Sociétés participantes aux réunions ainsi que les équipementiers Delphi et Bosch pour la confiance qu’ils leur ont témoignée. Ils invitent les diésélistes partageant leurs valeurs et analyses du marché à les rejoindre pour que la FEDA, organisation professionnelle sans but commercial, puisse encore mieux les représenter et les défendre à Bruxelles et auprès des autorités françaises.