“Avec la montée en puissance de notre gamme produits, l’EDI est devenu indispensable”
Comment s’est développé Promauto ?
Depuis sa création en 1990 par Antoine Aliberti, Promauto n’a cessé d’élargir son offre. Au départ son produit phare était la plaque d’immatriculation, aujourd’hui notre gamme va du soufflet universel au collier de serrage, en passant par les balais d’essuie-glace, divers produits d’entretien technique et de réparation pneumatique. Nous sommes propriétaires des marques Nissen qui fabrique des housses de sièges et tapis de protection d’atelier, DG spécialisée dans les soufflets de cardan et nous sommes distributeurs exclusifs pour d’autres marques comme Tech, Ace, Trico, Schumacher… Nous avons aussi créé, l’an dernier Proxivolt un réseau de distribution de batteries.
Notre centre administratif et logistique est depuis 2011 à Bussy-Saint-Georges, il y a 34 personnes sur le site. Notre marché se répartit en 40 % pour la rechange indépendante et le reste, 60 %, représente les constructeurs, les centres-autos, les pneumaticiens et le secteur agricole. Il est essentiellement national, nous sommes aussi très présents aux Antilles, à la Réunion, en Nouvelle-Calédonie. Nous avons réalisé un CA de 24 millions d’euros en 2012 et nous gérons environ 5 000 références.
Quand avez-vous adopté les outils Golda ?
En 2011 nous avons eu une forte demande de la part de nos clients notamment des groupements. Nous avons débuté par la mise en ligne de notre tarif. Tout le monde pouvait ainsi y accéder puisque le tarif Golda est ouvert à tous, adhérents et autres, les informations du site Golda sont une référence pour la profession. Le tarif nous a demandé un travail important de mise en forme, nous n’avions pas de culture informatique et partions de presque rien dans ce domaine, mais nous savions que l’évolution était incontournable, avec la montée en puissance de notre gamme produits, l’EDI devenait indispensable. Il fallait donc franchir le pas même si nous devions y passer du temps pour tout remettre en forme selon le standard Golda. Aujourd’hui nous renouvelons le tarif une fois par an, mais nous réfléchissons à une cadence plus réactive sur le tarif batterie, c’est un produit dont les prix sont plus susceptibles de variations, et peut-être même proposerons-nous des tarifs par grande famille de produits.
Notre deuxième étape a été la commande avec la mise en place de l’outil Golda-TecCom.
Nous avions entamé une réflexion, il y a un an qui s’est concrétisée avec Précisium Groupe, le groupement a été le premier client avec qui nous sommes entrés en production, il a parfaitement répondu à nos attentes et nous avons pu réaliser avec lui des tests sur la connexion, sur le contenu du message. Maintenant nous sommes prêts à accueillir tous ceux qui le désirent.
Quelle sera votre prochaine étape ?
Ce sera la dématérialisation fiscale, Groupauto est notre pilote sur ce sujet et nous travaillerons ainsi ensuite avec Précisium et AD pour commencer. Nous traitons environ 4 000 factures par mois, sans compter les avoirs. Saisie, impression en double ou triple exemplaire, classement, archivage, mise sous pli, affranchissement, expédition, le coût d’une facture traditionnelle est énorme, le gain est de plus de 1 euro avec la dématérialisation. De plus, celle-ci contribue à la préservation de l’environnement par l’économie de papier qu’elle permet de réaliser. Nous sommes aussi intéressés par l’outil Golda de remontée des statistiques de ventes détaillées. Cela pourrait nous permettre de dispatcher aux commerciaux des informations précises de vente par département. Nous sommes décidés à aller de l’avant, nous avons vu que nous pouvions compter sur le Golda, nous avons bénéficié d’une écoute et d’un accompagnement, qui ont grandement contribué à nous faciliter cette mutation informatique.