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Le colloque Carrosserie en Aquitaine fait salle comble !

Publié le 18 décembre 2013
Par Frédéric Richard
< 1 min de lecture
Près de 130 entreprises ont participé à cette 2e édition du colloque de la carrosserie, organisé par la FFC Réparateurs à la CCI de Bordeaux. Et parmi les 180 personnes présentes, 30% étaient non adhérentes ! Preuve que les sujets d'actualités évoqués lors de la manifestation touchent la profession bien au-delà des simples professionnels syndiqués…
Près de 130 entreprises ont participé à cette 2e édition du colloque de la carrosserie, organisé par la FFC Réparateurs à la CCI de Bordeaux. Et parmi les 180 personnes présentes, 30% étaient non adhérentes ! Preuve que les sujets d'actualités évoqués lors de la manifestation touchent la profession bien au-delà des simples professionnels syndiqués…

L’actualité des dernières semaines concernant les plateformes de gestion de sinistres des assureurs et notamment le buzz autour de Nobilas / AXA expliquent sans doute le fait que les carrossiers se sont sentis plus concernés que jamais et ont besoin de se sentir soutenus et de trouver des solutions pour pérenniser leur activité. C'était tout l'objet de ce colloque, qui a tout d'abord permis de  présenter la norme AFNOR, un label de qualité reconnu et élaboré par les organisations professionnelles FFCR, F.N.AA, et CNPA. Les carrossiers qui répondent aux critères de la charte peuvent s’en prévaloir, l’afficher et informer leurs clients. C’est un gage de qualité qui vient en contre-poids de l’agrément. "Il faut faire savoir au client qu’être non agréé ne signifie pas absence de qualité car vous êtes normé et donc vous respectez des critères de qualité", a expliqué Jean Ravier, président délégué de la FFCR. Il fut aussi question de promouvoir la cession de créance, cet outil permettant d'éviter au client d'avancer les frais de réparation même s'il ne se rend pas chez un carrossier agréé par son assurance. Enfin, l'accent fut porté sur l’expertise autonome, procédure permettant au client de missionner lui-même l'expert de son choix, dans le cadre du VE-VEI. " Le client comme le carrossier a tout à y gagner : immobilisation moindre du véhicule pour le client et une expertise juste et réaliste pour le carrossier, qui peut pratiquer ses tarifs et faire son travail dans les règles de l’art ", déclare Philippe Michaud, expert indépendant et créateur d’une procédure d’expertise libre.

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