NRF maximise son offre de pièces VE et garde le cap sur le durable

Plus de 1 000 références de pièces de rechange pour véhicules électriques figurent désormais dans le catalogue de NRF. Le spécialiste néerlandais de la climatisation et du refroidissement moteur s’adapte à l’évolution du parc roulant européen en étoffant sa gamme de références destinées aux VE et aux hybrides. Celle-ci comprend des systèmes de refroidissement de batterie et d’électronique de puissance, ainsi que de climatisation.

Répondre aux exigences de la traction électrique…

En effet, sur les VE, le système de refroidissement fait partie intégrante du groupe motopropulseur. Ses batteries et son électronique doivent être maintenues à des températures spécifiques. Son système de refroidissement repose sur le radiateur, comme sur un véhicule thermique. À partir de celui-ci, une pompe électrique fait circuler le liquide de refroidissement pour réguler la température de l'électronique du véhicule selon les conditions climatiques.

À côté, le VE embarque aussi un système de chauffage, ventilation et climatisation (CVC) pour l'habitacle. Sur les véhicules thermiques, le moteur fournit l’énergie nécessaire. Mais sur leurs homologues électriques, celle-ci est produite par un moteur électrique-compresseur. Ce système de CVC doit impérativement y être correctement entretenu afin de ne pas surconsommer et donc handicaper l’autonomie du VE.

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Pour répondre à ces besoins, l’équipementier propose donc par exemple un condenseur Tesla Model 3 et un ventilateur de refroidissement Tesla Model Y… Ainsi que bien d’autres références pour d’autres marques (Hyundai Kona électrique, etc.). L’ensemble de ces pièces NRF est disponible sur son catalogue en ligne. Le fournisseur précise qu’il continue à compléter cette offre spécifique.

…Sans oublier les motorisations thermiques

L’équipementier accompagne cette gamme avec des formations techniques spécifiques. Une équipe spécialisée assure ces services. Elle dispense ainsi plus de 1 000 sessions par an à travers l’Europe. Celles-ci sont organisées sur site et en ligne pour les mécaniciens. Elles concernent les sujets de sécurité, des procédures de déconnexion-reconnexion de la batterie, de l'entretien des systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation, parmi beaucoup d’autres.

Néanmoins, la marque ne renonce pas au marché majoritaire de la rechange du véhicule thermique. Pour preuve, elle étoffe aussi son portefeuille dans ce domaine. L'équipementier positionne même certaines de ses nouvelles références en tant que first-to-market. Il propose ainsi plusieurs dizaines de nouvelles pièces dans les domaines du refroidissement moteur, du contrôle de température, etc. Par exemple, les dernières nouveautés du fournisseur comprennent 31 radiateurs, 21 thermostats, ainsi que des pulseurs, des embrayages de compresseurs, des refroidisseurs EGR, des capteurs de pression de gaz d'échappement, etc.

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Parallèlement à ces offres dédiées aux véhicules thermiques et électriques, le fournisseur insiste aussi sur ses efforts en matière environnementale. En effet, il a mis en place une stratégie interne globale baptisée "3 R", pour "réduire, réutiliser, recycler". Objectif : minimiser la production de déchets en réutilisant ses produits et en les recyclant. Cela est notamment le cas des cartons d'emballage de ses pièces. Celles-ci sont conditionnées dans des boîtes aussi ajustées à leur taille que possible. Outre l'économie de matière, cette pratique permet également d'économiser de l'espace lors de leur transport et de leur stockage – chez le fabricant et ses clients.

Objectifs RSE conformes à l'ONU

Côté logistique, les huit entrepôts européens de NRF lui permettent de favoriser les transports locaux. Leur niveau est régulé par le site central de Gdansk (Pologne). Au besoin, les excédents sont ventilés entre ses différentes plateformes. Ainsi, la marque affirme rapprocher ses pièces des distributeurs, avec un meilleur taux de disponibilité. Elles parcourent moins de kilomètres sur route.

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Enfin, l'équipementier optimise l'emploi de matières premières lors de la fabrication de ses pièces. Il garantit ainsi des "performances élevées tout en maintenant un poids aussi faible que possible. Une telle approche est un avantage pour le transport, la manutention et le stockage, et en fin de compte pour le poids du véhicule, ce qui réduit la consommation de carburant". Il rattache cette dernière pratique à l’objectif de développement durable numéro 12 de l'ONU, adopté en 2015.