NTN-SNR, Elring et Clas créent le Club Technique Automobile
Chez NTN-SNR, Elring et Clas, on n’a pas le même maillot mais la même passion pour la technique. Conscients de la nécessité d’accompagner les professionnels de la rechange face à des véhicules aux technologies plus complexes, les trois équipementiers ont mis leurs connaissances et leur savoir-faire respectifs en commun pour créer le Club Technique Automobile.
L’ambition est simple : sensibiliser les garages aux bonnes pratiques. Pour les trois partenaires, il s’agit d’aider les ateliers à réaliser une intervention "fiable et pérenne" afin d’éviter un retour véhicule entraînant un mécontentement client et une surcharge du planning. "Nous sommes partis du constat que 95 % de nos retours étaient liés une erreur de montage ou à un mauvais diagnostic. C’est en partie pour minimiser ces retours que nous avons décidé d’unir notre savoir-faire à celui d’Elring et de Clas", confirme Amélie Paviet, responsable marketing EMEA de NTN-SNR.
Même discours du côté de Clas, où le CEO Philippe Barrault rappelle que l’outillage technique fait partie de l’"ADN" de la marque. "Nous nous devons d’offrir des solutions globales à nos clients pour les aider à relever les challenges du marché", précise le dirigeant.
Une formation chaque mois
Dans le cadre de ce Club Technique Automobile, le groupe franco-nippon, le spécialiste de l’étanchéité et le fabricant d’outillages réuniront chaque mois, dans un CFA, une "quinzaine à vingtaine" de garagistes au cours de formations portant sur des thématiques variées : le roulement de roue (montage et démontage des ASB, capteur de vitesse, moyeu disque de frein, etc.), la transmission (changement du bol, des soufflets, l’échange des éléments complets, etc.), la distribution moteur (intervention sur les tendeurs hydrauliques, tendeurs dynamiques, courroies, etc.) et les accessoires moteurs.
Débutant en octobre, ces formations seront réalisées en présentiel mais les partenaires n’excluent pas, à terme, de proposer leurs modules à distance si le contexte sanitaire l’impose.