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Formation

L'Anfa se félicite du succès rencontré par les formations de la branche

Publié le 13 octobre 2022
Par Romain Baly
< 1 min de lecture
Dans le cadre de sa dernière étude, l’Observatoire des métiers des services de l’automobile de l'Anfa fait état des résultats probants enregistrés par les certifications déployées dans le secteur. La majorité des diplômés trouvent un emploi dès la fin de leur cursus et 93 % dans les six mois.
Près de 5 000 personnes étaient inscrites en 2021 dans une formation dispensée par la branche des services de l'automobile. ©AdobeStock

Pour coller aux réalités du terrain et à l’évolution des métiers, la branche des services de l'automobile dispose aujourd'hui d'une vaste "palette" de certifications qui, à en croire le dernier rapport de l'Observatoire des métiers de l'Anfa, rencontrent un succès croissant.

Ainsi, près de 5 000 personnes étaient inscrites dans un cursus s'achevant en 2021, dont près de 71 % en alternance, et 88 % des présents aux examens (différent des inscrits) ont décroché leur diplôme.

Tendance à la hausse pour les demandeurs d'emploi

Alors que l’alternance représente le plus grand nombre d’inscrits dans les certifications de la branche, les indicateurs attestent une nouvelle fois la performance de ce cursus. En effet, six mois après la fin de la formation, le taux d’insertion des sortants en alternance s’élève à 91 % et grimpe jusqu’à 93 % pour les titulaires de la certification. Cette dernière donnée marque d’ailleurs une hausse notable (+ 5 %) par rapport à 2020.

Marie-Sophie Girardin, responsable projets à l’Observatoire des métiers des services de l’automobile, auteure de l’enquête, précise par ailleurs que 67 % des diplômés ont été embauchés par leur entreprise formatrice.

Autre donnée, et autre réussite relevée par cette étude avec l'insertion des demandeurs d'emploi. Alors que ces derniers représentaient 14 % des personnes formées, leur taux d'insertion s'élevait après six mois à 69 %.

Un chiffre qui "reste conséquent, car l’objectif d’insertion est plus complexe : le public concerné est parfois éloigné de la sphère professionnelle ou en reconversion avant d’entrer en formation", ajoute Marie-Sophie Girardin.

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