Global Star Repair, le nouvel outil de gestion de Five Star

"Qui mieux qu’un carrossier pour créer un outil de gestion de carrosserie." C’est avec ces mots que Romuald Rozet, fondateur du groupe CDR, a présenté sa nouvelle solution au dernier congrès du réseau Five Star, tenu du 14 au 16 juin sur les bords du lac Majeur, en Italie. Baptisée Global Star Repair, elle a été conçue pour répondre à l’ensemble des besoins d’un atelier de réparation et sera réservée, dans un premier temps, aux adhérents aux cinq étoiles.

"Nous avons été convaincus par cet outil axé sur la performance de l’entreprise. Dans le réseau Five Star, nous sommes très attentifs à la pérennité des carrosseries et ce logiciel leur permet justement d’adapter leur organisation pour optimiser leur activité", souligne Alain Bessin, président du GIE Five Star.

Outil de gestion et de pilotage, Global Star Repair est programmé pour gérer toutes les tâches d’une carrosserie, offrant une vision d’ensemble de l’activité grâce à plusieurs indicateurs (chiffre d’affaires, évolution des chantiers, productivité, rentabilité, etc.). L’outil est adapté aux cahiers des charges des apporteurs d’affaires et bénéficie d’interfaces avec les plateformes Darva et Sidexa. Complet, Global Star Repair présente, en outre, l’avantage d’être full web, simplifiant son accès depuis n’importe quel terminal (PC, tablette, etc.).

Un outil non imposé

Au total, trois ans de travail ont été nécessaires au développement de cette solution pour la société montpelliéraine CDR qui l’a déployée dans un premier temps dans ses sept ateliers. "Nous avons décidé de créer cet outil après avoir fait le constat qu’aucun logiciel sur le marché correspondait à nos attentes", explique Romuald Rozet. L’outil fait rapidement ses preuves, incitant alors le carrossier à le proposer à ses confrères, en commençant par le réseau Five Star.

"Global Star Repair sera proposé en exclusivité à nos carrossiers", confirme Alain Bessin qui précise, toutefois, que le logiciel ne sera pas imposé aux adhérents. "Ce n’est pas dans notre culture. Mais nous sommes persuadés que cet outil, qui correspond aux exigences du marché, sera adopté par une large part du réseau", ajoute le dirigeant.