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Edito : La cinquantième !

Publié le 19 février 2015
Par Hervé Daigueperce
2 min de lecture
Il pourrait s’agir d’une représentation – mot qui fait fureur en ce moment – ou d’une tentative – toujours sur le métier… – en réalité, nous célébrons, ce mois-ci, le cinquantième numéro du J2R, acronyme bien connu pour le Journal de la Rechange et de la Réparation.
Il pourrait s’agir d’une représentation – mot qui fait fureur en ce moment – ou d’une tentative – toujours sur le métier… – en réalité, nous célébrons, ce mois-ci, le cinquantième numéro du J2R, acronyme bien connu pour le Journal de la Rechange et de la Réparation.

Un acronyme et aussi une résultante, puisque ces trois lettres correspondent à la contraction du JRI et du JRA, les deux journaux que nous avons fusionnés, l’un destiné aux distributeurs, l’autre aux réparateurs. Plus qu’un anniversaire, aujourd’hui, nous fêtons un attelage qui fonctionne bien et qui devrait se porter de mieux en mieux. Certes, dit comme cela, cela prête à sourire ou à condamner le prétentieux, vendant son avenir comme sa dernière peau de bête. Il n’en est rien, rassurez-vous, nous évoquons en fait ce que le président de la Feda a loué dans sa propre fédération : “Toutes les actions que nous menons sont destinées, en réalité, aux réparateurs, les clients de nos adhérents.” Aux distributeurs de dispenser la bonne parole. Effectivement, la campagne “Libérez-vous des idées reçues” organisée par la Feda avec l’aide des groupements de distribution et des groupes de réparation rapide et centres-autos, consiste à aider les réparateurs dans leur difficile mission d’évangélisation du consommateur.

Oui, le réparateur indépendant peut intervenir sur la voiture neuve garantie, comme sur l’ancienne, et bénéficier de la garantie constructeurs. Oui, il utilise des pièces d’origine (celles des fournisseurs de première monte) ou de qualité d’origine. Oui, il dispose des informations techniques nécessaires (il essaie !). Oui, il peut sauver un véhicule en pratiquant l’Eco-Entretien® et en utilisant la pièce de réemploi, etc. Tous ces combats sont ceux que la Feda mène avec la Figiefa pour le… réparateur. Et ce n’est pas fini, la FedaBox, symbole des campagnes de communication, va dans le même sens (changer les amortisseurs, les filtres d’habitacle, entretenir les Diesel et intervenir sur les composants) et sert de support à la vente du réparateur. Quant à la clause de réparation, elle est disputée au profit du carrossier réparateur indépendant par la fédération et le combat, relayé par le distributeur. Finalement, c’est bien une cinquantième, une représentation des travaux de la filière, une tentative sans cesse renouvelée de fournir des outils de travail et une reconnaissance de cet étrange couple, du distributeur et du réparateur, lié ad vitam aeternam…

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