Van Heck Interpieces repart de l’avant
L’heure de la reprise a sonné chez Van Heck Interpieces. Le groupement a annoncé le rétablissement complet et quotidien de l’approvisionnement de ses dépôts en France, dans le respect des recommandations sanitaires en vigueur.
Selon le groupe, le travail fourni par les équipes logistiques permet d'assurer à nouveau un "taux de service optimal" et un accès complet à l’assortiment pour l’ensemble de ses clients distributeurs. Des efforts qui s’accompagnent d’un retour à la normale des livraisons de nuit, en H+4 et des enlèvements comptoir sur ses sites de Chassieu (69), Maxéville (54) et Noyelles-Godault (62).
Comme tous ses confrères, Van Heck Interpieces a été touché de plein fouet par le coronavirus mais dans des proportions somme toute assez raisonnables. Le groupement estime sa perte d’activité à 40 % et, aussi conséquente soit-elle, semble plutôt inférieure à la moyenne de la distribution. Si les entrepôts de Noyelles-Godault et Maxéville ont été fermés pendant les cinq premières semaines de confinement, celui de Chassieu est quant à lui resté opérationnel avec des protocoles adaptés.
Aujourd’hui opérationnel, le groupement flamand veut faire preuve d'optimisme. "Je suis convaincu qu'on ressortira plus fort de cette épreuve. Le marché va repartir, j'en suis convaincu, car les gens vont continuer à rouler et ils auront toujours besoin de faire entretenir leurs véhicules", estime Peter Vanosmael, directeur des ventes France.
Porté par la dynamique de sa maison mère LKQ, le groupe veut donc regarder de l’avant et entend mener à bien de multiples projets. Au programme : le développement du maillage de BPN (Business Partner Network) qui compte aujourd’hui 90 adhérents ainsi que l’extension du réseau Autofirst, fédérant 70 ateliers. Le renforcement de l’outil logistique, avec une éventuelle implantation parisienne, n’est pas non plus à exclure. Wait and see…