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Distribution

Van Heck Interpièces s’implante à Toulouse et à Paris

Publié le 9 septembre 2021
Par Mohamed Aredjal
2 min de lecture
Van Heck Interpièces s’apprête à changer de dimension en France. Le groupement va en effet prendre pied à Toulouse et dans la région parisienne. Une première étape dans le développement de la filiale de LKQ Europe, qui veut encore consolider son maillage logistique.
Si la stratégie d’acquisitions de LKQ Europe n’a pas (encore) pu donner à Van Heck Interpièces France une dimension nationale, le groupement veut aujourd’hui passer à la vitesse supérieure avec l’extension de son maillage logistique.
Si la stratégie d’acquisitions de LKQ Europe n’a pas (encore) pu donner à Van Heck Interpièces France une dimension nationale, le groupement veut aujourd’hui passer à la vitesse supérieure avec l’extension de son maillage logistique.

Plus de 10 ans après son arrivée dans l’Hexagone, Van Heck Interpièces (VHI) entend franchir un nouveau cap. Jusqu’ici implanté à Noyelles-Godault, Maxéville et Chassieu, VHI n’offrait qu’une couverture partielle du territoire. "Nous ne couvrions qu’un tiers du marché français", reconnaît Peter Vanosmael, directeur général du groupement. Du moins jusqu’à aujourd’hui puisque l’opérateur va prendre pied dans de nouvelles contrées.

A commencer par la région toulousaine où il s’est offert un dépôt logistique de taille à Castelnau avec une superficie de 4 000 m². Offrant un service en H+4, le site sera opérationnel en octobre. "Ce sera un copier / coller de notre hub logistique de Noyelles-Godault, où nous comptons environ 60 000 références", ajoute Peter Vanosmael. Un investissement assumé par le groupe qui souhaite coupler à son stock une offre de services renforcée.

Lire aussi : Van Heck Interpièces France rejoint l’association Eco Entretien.

De nouvelles implantations en ligne de mire

Loin de s’arrêter là, Van Heck Interpièces se tournera ensuite vers la capitale. Dès fin 2021 (début 2022 au plus tard), l’opérateur mettra en route un nouveau site logistique aux Ulis, dans l’Essonne. Une cap symbolique pour l’opérateur qui lorgnait cette zone de chalandise depuis déjà plusieurs années. Là encore, le groupe a mis les petits plats dans les grands avec une plateforme de 6 500 m² sur deux étages.

"La capitale redevient une priorité avec un modèle plus ambitieux qui nous permettra d’assurer une livraison de nuit et en H+4. Ce site permettra de soulager notre hub de Lyon qui travaille à 110 %", détaille Patrick Gauvent, directeur développement et intégration. Cette expansion logistique ne représente que la première phase de l’offensive de VHI : le groupe envisage, ensuite, une installation en Bretagne où il fait l’objet de "nombreux appels du pied". "C’est une région où le H+4 est primordial", rappelle Patrick Gauvent.

Autre objectif fixé sur la carte du groupe : le Sud-Est. VHI jouit déjà de plusieurs opportunités de business dans la région marseillaise mais devrait s’y implanter avec un dépôt à la taille plus modeste, assurant les livraisons en H+4. Les commandes de nuit seront toujours portées par le hub de Chassieu. "Mais avant cette implantation dans le Sud-Est, nous voulons d’abord doubler la superficie de notre plateforme lyonnaise", conclut Patrick Gauvent.

 

Retrouvez l'intégralité de l'article consacré à Van Heck Interpièces France dans le J2R n°116 de septembre.

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