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Equipementiers

ZF Aftermarket enrichit sa gamme d’amortisseurs Sachs

Publié le 21 octobre 2020
Par Elodie Fereyre
< 1 min de lecture
L’équipementier propose des amortisseurs à pilotage électronique pour de nouvelles applications. Avec plus de 30 références, ZF Aftermarket se targue ainsi de posséder l’offre la plus complète du marché.
Sous sa marque Sachs, ZF Aftermarket commercialise plus d'une trentaine de références d'amortisseurs CDC.

Pour apporter une offre plus large aux MRA, l’équipementier a décidé de renforcer sa gamme Sachs d’amortisseurs CDC (Continuous Damping Control) avec des références pour les berlines familiales et le haut de gamme. Ce système d’amortissement pilotable en continu est de plus en plus répandu sur les véhicules légers (28 millions d’amortisseurs produits par ZF depuis 1997) et doit être remplacé par des pièces identiques. Aujourd’hui, même des citadines comme la Volkswagen Polo peuvent être équipées d’amortisseurs CDC.

Sous sa marque Sachs, ZF Aftermarket propose notamment plus d’une trentaine de références pour les modèles suivants : Audi A4 (2007 à 2015), Audi Q5 (2008 à 2016), Audi Q7 (2006 à 2015), Porsche Cayenne (2002 à 2010 et 2010 à 2017), Volkswagen Touareg (2002 à 2010 et 2010 à 2018).

Du potentiel pour la rechange indépendante

En termes de durabilité, ces amortisseurs offrent de belles performances. Toutefois, il convient de les remplacer dans certaines situations, comme après avoir transporté des charges lourdes, après une utilisation dans des conditions routières difficiles, ou en raison d’un kilométrage élevé. Pour les MRA, qui sont de plus en plus amenés à effectuer des remplacements, rien ne diffère de son homologue hydraulique, cependant, certains nécessitent un appairage électronique supplémentaire.

"Les véhicules équipés d’amortisseurs à pilotage électronique offrent un excellent potentiel d’activité additionnel : tout d’abord parce qu’un dysfonctionnement est signalé par un témoin lumineux au conducteur, ce qui l’incite à se rendre à l’atelier. D’autre part, car le remplacement doit être réalisé avec des pièces identiques, enfin car en réparant un système de suspension électronique complexe, l’atelier peut faire valoir ses compétences et de se démarquer de la concurrence", indique l’équipementier dans un communiqué.

 

 

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