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Dactem Développement : une certaine idée du contrôle

Publié le 17 août 2015
Par Hervé Daigueperce
2 min de lecture
Depuis une trentaine d’années, le groupe accompagne les fabricants et producteurs à contrôler qualité et fiabilité des produits. Contrôler avant de livrer.
Depuis une trentaine d’années, le groupe accompagne les fabricants et producteurs à contrôler qualité et fiabilité des produits. Contrôler avant de livrer.

S’il est un métier qui ne cesse de se développer, c’est bien celui des bancs de contrôle pendant et après la production. Comme aucune fabrication n’est identique, aucun process ne suit les mêmes voies, des spécialistes comme Dactem Développement – pas si nombreux – s’ingénient à fournir les appareils de tests les plus adaptés. On parle ici de bancs “d’alternateurs et démarreurs” pour des tests rapides (12 V et 24 V) avec Pal, pour du contrôle progressif avec Emerod, ou des tests étendus en charge, avec Topaz. On compte aussi dans la gamme, sans être exhaustifs, des bancs “régulateur” pour des tests professionnels (Axone) ou des bancs “démarreurs” pour des tests de performance destinés à tous les types de démarreurs. Tous ces produits sont conçus et destinés aux fabricants (les grands équipementiers) mais également aux techniciens, aux groupes de distribution, aux électriciens autos, aux garages : les retours de garantie d’alternateurs trouvent leur résonance dans Opal par exemple. Aujourd’hui, tout est sujet à contrôle, à garantie, à justificatif, et aussi au gain de temps. Un retour coûte cher, une étude de garantie aussi, une mauvaise production, encore plus. Ces appareils deviennent des alliés très sûrs. Sur le salon, où Dactem Développement exposait pour la première fois, les premières impressions ont été bonnes : “nous sommes venus découvrir les acteurs de ce salon, et cela a été l’occasion d’échanger avec des fabricants et de découvrir d’autres attentes ou d’autres souhaits” a commenté Guy Crepet, CEO de Dactem Développement. Du travail pour les ingénieurs, qui développement les outils en quasi sur-mesure : “Nous avons besoin les uns des autres, a-t-il poursuivi, nous devons tous travailler de la même façon et le fait que nous soyons les uns à côté des autres, comme auprès de ces équipementiers qui sont autour de nous, Valeo, Bosch, etc., nous aide beaucoup. En outre, 40 à 50 % de notre chiffre sont réalisés à l’export, c’est notre stratégie de développement et nous voyons aussi beaucoup d’internationaux. Nos ambitions portent essentiellement sur l’Asie et les Etats-Unis.” Mais, en dehors de l’export, les équipes sont à pied d’œuvre dans les domaines de la consommation d’énergie et des protocoles de communications pour les futurs alternateurs, démarreurs et alterno-démarreurs. De quoi les revoir au prochain ReMaTec.

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