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L’association Eco Entretien s'allie à l’Utac Ceram

Publié le 2 septembre 2020
Par Nabila Albour
< 1 min de lecture
L’organisme technique de référence en matière d’homologation et d’essais signe un partenariat avec l’association Eco Entretien (AEE) pour la réalisation des tests de labellisation des produits de traitement.
Le groupe privé a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 83 millions d’euros.

L’Eco Entretien peut se targuer d’un nouvel allié de poids. L’association a en effet gagné les faveurs de l’Utac Ceram, expert technique en matière d’homologation, de certification et d’essais techniques automobiles dans les domaines de la sécurité, de l’environnement et de la fiabilité.

Aussi, les deux nouveaux associés ont noué un partenariat pour la labellisation des produits de traitement compatibles. Grâce à cet accord, l’association pourra bénéficier, outre les équipements techniques de l’Utac Ceram, d’une accréditation ISO 17025 délivrée par la Cofrac, pour la mise en œuvre d’un protocole de tests formalisé.

Réduire significativement la pollution

Objectif : identifier les niveaux de performance des technologies et des produits de traitement proposés par les entreprises pour évaluer ainsi leur capacité à réduire significativement la pollution issue des dysfonctionnements moteurs. Les résultats de ces tests permettront ainsi à l’AEE de délivrer le label Eco Entretien compatible. Si l’Utac garantit le respect du protocole de tests défini conjointement avec I'AEE et l'exactitude des résultats, l’organisme prévient toutefois que ces derniers et les autres informations communiquées le sont en l'état.

Pour rappel, l'Eco Entretien est un protocole en deux étapes d'analyse et de correction des dysfonctionnements liés à la thermodynamique des moteurs à combustion interne. D’une part, le diagnostic fonctionnel du moteur - à l’aide d’un analyseur de gaz et d’un logiciel appelé Ecodiag - sur la base d'une mesure et d'une analyse selon un protocole défini des émissions à l'échappement de 5 gaz résiduels de combustion (C02, CO, HC ,02 et NOx). La seconde étape est la mise en application des mesures correctives issues de la première étape par traitement chimique ou autre technique, par réparation ou remplacement d'organes, selon la nature des dysfonctionnements relevés.

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