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Nominations

CNPA : réélu, Francis Bartholomé veut "ouvrir de nouveaux territoires"

Publié le 4 juillet 2017
Par Mohamed Aredjal
< 1 min de lecture
Investi pour un deuxième mandat à la présidence du CNPA, Francis Bartholomé a pris la tête d’une nouvelle gouvernance et s’est fixé pour ambition de poursuivre l’ouverture de la filière.
La nouvelle équipe nationale du CNPA.

Francis Bartholomé reste aux manettes du CNPA ! Les membres de l'assemblée générale du syndicat patronal ont reconduit ce 29 juin le président dans ses fonctions. Elue pour 4 ans à 92,3% des suffrages exprimés, l'équipe nationale est composée, outre son président, de Pascal Brethomé, vice-président aux métiers, Didier Chabrier, vice-président aux territoires, et Michèle Salvadoretti, trésorière nationale.

Après un premier mandat (2014-2017) marqué par le "nouvel élan" qu’il a voulu insuffler, Francis Bartholomé entend poursuivre son développement en "ouvrant de nouvelles routes pour conquérir nos futurs territoires". L'équipe élue et les nouvelles instances de l'organisation se sont notamment fixées comme priorités d’atteindre 20 000 adhérents en 2020 et d’accompagner l’innovation de la filière. Une stratégie qui a conduit le CNPA à lancer, fin juin, son incubateur de start-up, le Moove Lab.

"Entre la révolution numérique, qui bouleverse la filière automobile et une révolution écologique que nous devons à tout prix soutenir, la mobilité ne peut plus être conçue et gérée comme avant. C'est notre responsabilité d'organisation professionnelle que d'accompagner les changements, d'aider nos entreprises à les anticiper, pour garantir demain une filière forte, innovante, mais aussi créatrice d'emplois et protectrice pour tous ses acteurs" a expliqué Francis Bartholomé.

Le CNPA entend également garantir un équilibre entre tous les acteurs de la filière avec ses nouvelles instances : le conseil d'orientation et de surveillance, le directoire, la conférence sociale, le conseil des sages et le comité des mandats. Elles seront épaulées par le comité des jeunes dirigeants, créé lors de la précédente mandature, qui est désormais intégré au directoire. Ces cinq instances ont été renouvelées à près de 50%, avec un taux de féminisation en nette progression, et notamment un tiers de femmes qui siègent au directoire.

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