Le parc roulant équipé de boîtes de vitesses automatiques (BVA) ne cesse de croître. En dix ans, le nombre de véhicules équipés a triplé. Or, la maintenance de ces transmissions nécessite une expertise particulière, notamment en ce qui concerne la vidange de l'huile. 
Les grandes roues sont source de défauts d'équilibrage, liés à l'importance prise par les bras de levier des balourds sur les axes et le plan de rotation. L'essor des dimensions dépassant les 20 pouces de diamètre de jante n'est donc pas favorable à un bon équilibrage. Aussi, une formation adaptée et une machine précise sont indispensables. 
Pour réduire les émissions de CO2 de leurs véhicules, les constructeurs doivent passer sous les fourches caudines de l'électrification, obligeant les réparateurs à investir dans la formation, l'équipement et l'espace dédiés. Mais avec la basse tension, de 12 à 48 V, de nouvelles solutions s'offrent aujourd'hui à l'industrie automobile. 
Depuis l'arrivée du contrôle des Adas, on n'entend plus parler que de la géométrie des trains roulants. Ce serait le passage obligé du paramétrage des caméras et radars. L'investissement est-il à la hauteur du marché ? Pourquoi ces quatre angles sont-ils si importants pour la sécurité et les aides à la conduite ? Nos réponses. 
Si les décisions finales sur l'adoption de la norme Euro 7 se font attendre, les constructeurs soignent la boucle de dépollution avec des solutions parfois audacieuses, malgré l'abandon prévu des moteurs thermiques. 
Désormais partie intégrante de la structure de la voiture, avec son montage collé, le vitrage prend toujours plus de place. Il intègre aussi un nombre croissant de fonctions de sécurité, avec des perspectives capitales pour la voiture autonome. 
Bien que tous les regards soient déjà tournés vers les véhicules électriques et leurs batteries lithium-ion de traction, les batteries classiques au plomb, dites de démarrage, sont toujours d'actualité. Elles nécessitent un entretien spécifique pour anticiper les défaillances. 
Le turbocompresseur, apparu sur les voitures de série dans les années 60, équipe pratiquement tous les moteurs récents, qu'ils soient diesel ou essence. De nouvelles évolutions techniques ont sensiblement amélioré ses performances ces dernières années. 
Les homologations et les spécifications sont devenues incontournables dans l'industrie des lubrifiants, garantissant la fiabilité ainsi que la qualité du produit utilisé. Dans ce domaine, les constructeurs n'hésitent d'ailleurs plus à se montrer de plus en plus exigeants. 
Mis en œuvre sur les voitures neuves dès la sortie d'usine, colles, mastics et enduits participent à la longévité de la carrosserie. Dans les ateliers, ces consommables ont le pouvoir d'allonger la durée de vie d'une réparation. Mais quel produit, et pour quoi faire ? 
Entre les security gateway, le protocole DoIP et les données par milliards aujourd'hui générées par les véhicules, le diagnostic des systèmes électroniques va se complexifier dans les années à venir. Face à ces évolutions, les équipementiers annoncent pourtant toujours plus de simplicité pour le réparateur. 
Vis ou écrous de roues, multiples boulons des éléments mécaniques, éléments de suspension et de freinage… Autant de serrages qui doivent respecter des valeurs strictement encadrées pour assurer la sécurité du véhicule. À cette fin, il faut privilégier un outil présent dans tous les ateliers, mais trop peu utilisé : la clé dynamométrique. 
