Publié le 18 octobre 2012
N’ayons pas peur de jouer sur les mots et accordons-nous dans une période troublée, le droit de sourire. A la veille du Mondial, salon qui se porte à merveille, tant la valeur des nouvelles silhouettes tend encore à croître, le président de Renault n’hésitait pas à remettre en cause la pérennité de Renault, quand celui de Fiat appelait l’aide de Bruxelles.